dimanche 12 janvier 2014

Les forums HaitiNation ont lancé leur station de radio

Bienvenue sur mon blog. L'évènement de l'année est le lancement ce 12 janvier 2014 de la Radio HaitiNation. Ecoutez-la pour vous faire votre propre idée.

mercredi 22 juin 2011

Belladère, chose promise, chose donnée : Marc Octa a été fusillé !

Belladère, chose promise, chose donnée : Marc Octa a été fusillé !

Suite aux élections controversées de Gaillot Dorsainville, arrachées des mains du Candidat Amos Duboirant (que dis-je : arrachées des entrailles de la population !), au profit du Candidat de l’INITE, Luther King Marcadieu, les partisans de l’INITE dont Macliche Ledoux (alias Tidou) avaient promis la mort au citoyen Marc Octa. La mort ? Pourquoi ? Parce qu’il avait osé affirmer sa préférence pour l’un des candidats en lice. Affirmer sa préférence politique peut vous couter la vie à Belladère. Voici les faits :

Ce mercredi 22 juin 2011, le citoyen Marc Octa, Directeur général a.i. de la Caisse Populaire de Belladère (l’unique banque de la ville) a laissé son bureau pour se rendre à la Douane de Belladère se situant à la frontière haitiano-dominicaine. A son retour une embuscade l’attend sur la route de Cachiman. Il est 14h45. Deux individus armés font feu sur sa voiture le blessant gravement au visage, la voiture a reçu au moins 8 balles coté-conducteur. Les impacts de ces balles montrent une chose : les bandits ont tiré pour tuer ! La victime est actuellement en République dominicaine entre la vie et la mort.

Les bandits ont commis leur forfait. Et après ? La justice saura-t-elle trouver les commanditaires ? Va-t-elle tergiverser comme d’habitude et faire comme si de rien n’était ? Chaque citoyen de Belladère est-il à lui-même livré? Ces histoires d’élections ont fait déjà nombre de victime. Sous la présidence de Michel Martelly les crimes continueront-ils à se perpétrer comme d’habitude sans que la justice ne sévisse ? Les bandits ont laissé sur place des téléphones portables qui n’ont eu de cesse de sonner quelques secondes seulement après l’opération. La police a en main ces téléphones, exploitera-t-on ces pistes ou les détruira-t-on comme le veut l’usage de l’impunité ?

A suivre….

Renald Luberice

Belladère, 22 juin 2011