samedi 16 janvier 2010

Mi Hermano, mi monje, mi anacoreta…

A tout jamais, me dire que tu disparais? Toi, Welmid ? Non, je ne peux pas… Non. Je ne pourrai pas !

Tu es de ces êtres si précieux, si rares que nul n’acceptera de perdre. Je ne peux pas… je ne veux pas te perdre. Tu as été mon frère, mon ami, mon confident. Tu es mon frère, mon ami, mon confident. Tu seras mon frère, mon ami, mon confident. Cette affreuse douleur, cette pénible existence ne me laisse guère les mots. Des mots qui seraient de toute façon impuissants à décrire mes maux.

Je t’aime !

J’ai envie de le crier à la face du monde entier. Si seulement toi, tu pouvais l’entendre… Fort aurais-tu voulu que je sois, mais la force me fait défaut.

Welmid L’IRREMPLAçABLE

C’est grâce à toi que j’ai su que la bonté, la sincérité, l’amitié, la ténacité et toutes ces choses rares que n’arrive plus à énumérer existent. Je l’ai su, parce que tu étais, tu es et tu seras toujours tous les adjectifs dérivés de ces noms. Que dis-je ? Tu es ces noms !

Tu as tellement de qualités, que tu as d’ailleurs toujours voulues me transmettre. Je n’en ai jamais été, néanmoins, à la hauteur. Ce qui t’arrive, ce qui m’arrive, ce qui nous arrive rappelle combien la vie est éphémère, combien fragile est-elle.
Pour ton fils Wedson, je tacherai d’être là. Bien que je sois véritablement impuissant et que je ne pourrai jamais faire tout ce que toi, si les rôles avaient été inversés, tu aurais pu faire.

Seulement, je te fais une dernière promesse avec sincérité, comme on a toujours su l’être l’un envers l’autre, que tu restes et resteras graver à tout jamais dans ma mémoire, dans mes pensées, dans mon cœur… Si ce n’est pas pour toujours, du moins le restant de mes jours…

Ton R-Lub, ton hermano

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